Question de corpus
Pour La Fontaine, Rousseau et Hugo, la liberté ne se gagne qu'au prix de sacrifices. Pour La fontaine, le loup renonce au réconfort «os de poulet,os de pigeon», et le mépris des richesse lui fait dire: «Je ne veux en aucune sorte/Et ne voudrait pas même à ce prix un trésor». Rousseau lui, met en avant sa pauvreté à laquelle il oppose une «richesse» qui empêche comme il le dit de «connaître le prix de la vie»; il lui suffit, «pas manqué du nécessaire». Victor Hugo, lui se résigne à un tout autre sacrifice, avec un registre élégiaque, il se soumet « l'âpre exil » loin de sa « terre douce et triste ». Chaque auteur nous dis que la liberté réside dans le sacrifice de ce que l'on aime.
Cependant, la liberté n'est pas seulement le renoncement, mais aussi le respect de certaines valeurs personnelles. Ainsi, Le loup, pour Jean de la Fontaine veut sauvegarder à tout prix sa fantaisie : « vous ne courez donc pas/ Où vous voulez ? ». Pour Rousseau, le plaisir et le bonheur sont des valeurs primordiales, avec le champs lexical de l'envie, « autant que je veux », « le choix », « on en veut » ou encore le champs lexical du plaisir, « plaisent », « plaisir »