A l’époque le théâtre fus l’un des genres littéraires à la mode qui permettait de donner vies à des œuvres écrites. Les œuvres de Victor Hugo, Ruy Blas, ou de Albert Camus dans Caligula ou même celles de Ionesco dans Le roi se meurt emporte le lecteur dans une forme de représentation de spectacles. Il conviendra de se demander après avoir justifier le rapprochement de ces trois textes en quoi peut-on les différencier. Nous étudierons dans un premier temps les points communs entre ces différents textes et dans un second temps nous analyserons leurs différences.
Tout d’abord, ces trois textes sont extraits de pièce théâtre dramatique. Nous avons également pu remarquer que chacun de ces textes fessait appelle à un personnage principale d’une classe sociale noble. Pour Ruy Blas, le 1er ministre assiste à sa mort imminente, tout comme Caligula de son titre empereur ou encore Le roi dans Ionesco. De plus Caligula et Le roi se meurt sont rassembler par l’autorité oppressive qu’est la Tyrannies et l’exercice intolérable du pouvoir suprême : « dans ce royaume où tout fonctionne si mal ou encore dans Caligula avec « âpres avoir méprisé les autre ». Ces deux extraits se rapproche autant par le pouvoir politique que par les sentiments, le personnage de Caligula comme celui du Roi ont cette sensation de peur : « j’ai peur ». Une peur vis-à-vis de la cette mort imminente qui ne fait que grandir au fur et a mesure du récit comme une bombe qui allait explosé. Cependant Caligula vit une mort violente « le vieux patricien le frappe dans le dos, Cherea en pleine figure. » comme Ruy Blas qui lui meurt empoisonné. Ces deux morts similaires rappellent au lecteur combien les nobles n’étaient pas seulement bien vus par la société mais combien eux aussi pouvaient s’en vouloir au plus au point pour le 1er ministre. De plus, dans les textes de Albert Camus et de Victor Hugo, la même intensité dramatique est encré dans la scène par les exclamations comme « Permettez, ô mon Dieu !