Question sur corpus
Ces trois extraits représentent très bien cette époque du classicisme instaurant une vision de l’Homme humble et non dans l’excès malgré la fureur des sentiments. C’est tout d’abord dans l’esthétique que l’auteur cherche à nous transmettre cette interprétation des sentiments et alliant forcées poétiques et théâtrale. En effet les trois extraits paraissent au lecteur d’autant plus signification par la rime, dans le texte A Phèdre est submergée par un mal mystérieux qu’elle ne parvient à comprendre par l’ambivalence de cette « absence » qui se révèle d’une « innocence » si difficile à cerné. C’est à la façon de ce premier texte que Racine rédige Bérénice, non pas par le sens mais par le doute submergeant le protagoniste. L’ambivalence de la rime est ici marqué par les personnages, tant dis que Bérénice exprime le regret, Titus lui, tente de dégager son amour. Le contraste est justement explicite par la rime qui scande le texte Bérénice expliquant son « regret » et dévalorisant les « secret[s] » est contredite par Titus décrivant son amour pleine de « tendresse » et contredisant le « secret » de « confession