Questions à 6 points
1) Tout d’abord, nous pouvons affirmer que les textes A et B sont des sonnets français en alexandrin et nous savons également que ce type de poème a souvent pour thème l’amour et donc pour registre le lyrisme, ce qui nous permet déjà d’affirmer que ces deux textes font surement partis du lyrique, ceci est un indice.
Puis, nous pouvons souligner que le document C est un poème en prose car nous pouvons relever une mise en paragraphe, pas de rimes ni de vers, des anaphores « J’ai tant rêvé de toi » (txt C v.1 ,4 ,9 ,13), des allitérations « J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité » (txt C v. 1) (allitération en [t]) ou des assonances (en [é] v.1) qui sont également des procédés du lyrisme.
Enfin, nous allons justement étudier les procédés du lyrisme dans les différents poèmes du corpus pour prouver qu’ils font partis de ce registre.
Premièrement, on remarque l’abondance de « je », « tu » et « elle » dans les trois textes (v. 2,3, 9, 10, 13, 14 texte A, v. 1, 2, 4, 5, 7, 9, 10 texte B, v. 1, 3, 4, 5, 6, 7, 9, 10, 11, 13, 16 texte C)
Deuxièmement, on y trouve des anaphores « pour elle seule » (v. 6, 7 texte B), « j’ai tant rêvé de toi » (v. 1, 4, 9, 13 texte C), des apostrophes «Ô » (v. 8 texte C).
Troisièmement, on relève la présence du champ lexical