Quintais et jean-luc robert
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Hervé CONCEDIEU envoya donc le bouchon aux environ de huit mètres, et il pointa sa première boule. Comme il fît un bon point, les adversaires décidèrent de tirer, et le tireur fît un palet allongé. Hervé pointa sa deuxième boule tout aussi près et le tireur adverse récidiva par un autre palet allongé. Philippe s’en allât jouer a son tour, et le milieu adverse fît lui aussi un palet allongé. Les jeux étant relativement facile à tirer, nos trois amis commencèrent à se faire du souci. En effet leurs adversaires avaient trois points par terre et trois boule contre trois. Ils décidèrent de jouer en face des boules adverses, quittes à faire un point moins bon, pour essayer de bénéficier d’un contre. Bien leur en pris puisque le milieu fît un carreau en place. Il n’y avait pas eu de contre mais le point pouvait toujours se gagner, et il y avait un espoir de se coller à au carreau. Jean – Luc gagna le point mais hélas, ne se colla pas à la boule. Il pensait néanmoins avoir fait le plus dur puisqu’il obligeait le pointeur adverse à tirer.
Celui-ci tira et fît à son tour un palet allongé.
CINQ points par terre et une boule contre une autant dire que les risques de prendre une mène de six points étaient grands.
Compte tenu du fait que c’était l’époque maudite des rendements de points (source de x disputes), Jean – Luc eu l’idée(ne les connaissant pas) de demander à ses adversaires combien d’entres eux étaient classés en première catégorie ? ? ? ? ? ? Aucun répondirent ils tous en cœur avec un large sourire.
Cela devenait grave puisque aux six points qu’ils risquaient de perdre venaient s’ajouter trois points de catégorisation (Jean – Luc, Hervé et Philippe étant en première catégorie) La pétanque étant un des rares sports où l ‘élite est pénalisée.
Le séjour en terre Stéphanoise risquait d’être bref pour les représentants de l’Eure et Loir.
Ensuite c’est la légende qui parle puisque les souvenirs sont lointains et flous.
Il paraît que Jean – Luc aurait demandé à voir