Qu’elle serait la position d’Emmanuel Kant face a l’avortement?

Tout d’abord, l’avortement est l’acte qui consiste à interrompre volontairement avant terme le processus de gestation. L’avortement à été considéré comme illégal au Canada jusqu’en 1969, à ce moment Pierre Trudeau à fait passer une loi la permettant si la vie de la mère était en danger. Cependant, l’acte était toujours passible de sanctions selon le code criminel. Plus tard, en 1988, la Cour suprême du Canada a aboli l’article 251 du code criminel. Depuis, au Canada l’avortement est légal durant les neuf mois de la grossesse. Malgré cela, cette pratique est depuis longtemps, un intense sujet de débat ce qui est tout à fait compréhensible. En effet, n’es ce pas normal que le droit de vie ou de mort sur un être humain sois sujet de contreverse? Il y a aussi plusieurs facteur important à considérer pour avant de pouvoir pencher pour une des deux alternatives. C’est-à-dire dire les pros vie, pour eux l’avortement n’est pas envisageable c’est même un crime. Il y a de l’autre coté les pros choix, qui sont plus tolérant et pense que le choix de garder l’enfant doit revenir à la mère ou du moins ou parents. Cependant, tout n’est pas noir ou blanc dans la contreverse qui entoure l’avortement. Plusieurs cas porte à réflexion. Par exemple, si nous prenons la position des pros vies et que nous la confrontons au contexte d’un viol, il est plus délicat de maintenir la position selon laquelle la naissance doit avoir lieu. Alors, je tenterai d’appliquer les principes de l’éthique de Kant à l’avortement. Premièrement, les responsabilités de la mère lorsqu’elle porte la vie. Deuxièmement, les devoirs de l’état par rapport à l’avortement.

En premier lieu, observons la situation du point de vue de la personne qui est le plus concernée lorsqu’il est question d’avortement, la mère porteuse. Si cette personne perpétue le résonnement de Kant, ses agissements doivent être basés sur la raison et non sur ses sentiments.