Les obsèques de la Lionne
Cette fable fait partie du même recueille que le texte 1 (Les animaux malades de la peste ), écrit en 1678, elle est écrite en vers mêlés, on est sur un mélange d’Alexandrins et d’octosyllabes.
I. Récit plaisant 1. Dynamisme
On a de multiples enjambement : vers2/3 ; 6/7 ; 37/38. On 55 vers on a de multiples actions : mort de la lionne, présentation des obsèques, obsèques, dénonciation, mensonge, disculper). On a l’importance du discours direct vers 33/38 : parole du cerf puis des autres. On a aussi discours indirect libre : vers 28/29. La présence de connecteurs temporels « Aussitôt » « Brefs » « A peine » (rapidité des actions). 2. Les émotions.
Peur : Le sort du cerf vers 30/31 le vers 38 qui insiste sur la gravité (intensité dramatique). On a une certaine révolte au vers 25/27 contre la reine par le verbe « étrangler » par rapport au Lion « Venez Loup.. » succession de l’impératif qui ordonne un châtiment cruel. Le fait même qu’il y est un flatteur (puisqu’il dénonce) « Et soutint qu’il l’avait vu rire » la conjonction de coordination plus le verbe « soutenir » peur donner un sentiment de révolte par rapport au cerf (le fait même que cela n’est peut-être pas vrai).
Sourire : Le comportement des animaux : le roi par sa naïveté croit le mensonge du Cerf « Votre digne moitié…Tout près d’ici m’est apparue ». Les autres animaux y croient aussi « On se mit à crier : « Miracle ! Apothéose ! » ». Le fait que les courtisans se rendent serviles on le voit par le verbe « accourir » (vers2) qui insiste sur la servilité ridicule. Le symbolisme même des animaux « accoutumé de lire » montre une certaine habitude sachant que les animaux ne savent pas lire.
II. Critique de la société. 1. Courtisans.
Le fait que les animaux sont Flagorneurs au vers 2 «Aussitôt » complément circonstanciel de temps. La servilité des relations : « On entendit, à son exemple, » mit en valeur par la virgule (vers 15/14).
La Naïveté des