Race et histoire
P10 : Gobineau, père des théories racistes, ne concevait pas les inégalités humaines de manières quantitative mais qualitative. Les grandes tribus primitives n’étaient pas inégales en valeur absolue que diverses dans leurs aptitudes particulières…La tare de la dégénérescence est le métissage.
…Le péché (de l’anthropolgie) est de ne considérer que le côté purement biologique de la race, sans les productions sociologiques et psychologiques des cultures humaines.
P11 : Si l’originalité entre peuple existe, elle tient compte à des circonstances géographiques, historiques ou sociologiques, et non à des aptitudes distinctes…l’humanité ne se développe pas dans une uniforme monotonie, mais dans la diversité des sociétés et des civilisations…il ya plus de culture que de race (même entre 2 culture d’une même race), et la diversité entre les cultures est forte.
P12 : Ce qui explique la différence de « progrès » entre la civilisation de l’homme blanc et les autres.
P13 : Les cultures humaines ne diffèrent pas entre elles ni de la même façon, ni sur le même plan.
P14 : La diversité culturelle est, en fait dans le présent, en fait et en droit dans le passé, beaucoup plus grand et plus riche que nous sommes destinés à en connaitre jamais.
P15 : Il y a simultanément en œuvre, dans les sociétés humaines, des forces travaillant dans des directions opposées, les unes tendant au maintien et même à l’accentuation des particularismes, les autres agissants dans les sens de la convergence et des affinités (les langues, l’art, la religion,…).
P16 : Y-aurait-il un optimum de diversité ? Cette diversité qui n’est pas statique…Les sociétés humaines ne sont jamais seules ; quand elles semblent le plus séparées, c’est encore sou forme de groupes.
P17 : A l’exemple des cultures américaines isolées du reste du monde durant des milliers d’années, ce fragment d’humanité était constitué en une multitude de sociétés en relation étroite. Et à côté,