radionucleides et datation
Avertissement :
Cette proposition d’approche documentaire (AD) comprend un ensemble de documents extraits de ressources venant de sites ou organismes fiables cités en fin de texte.
Elle comporte plusieurs parties et peut être exploitée entière (pour de bons élèves, ou pour un devoir maison pendant les vacances …) ou partiellement, en supprimant différentes parties. le premier paragraphe de présentation de la radioactivité est un rappel de notions vues dans le secondaire le deuxième paragraphe sur la décroissance peut être une petite AD à lui seul les datations peuvent être proposées séparément, et séparément l’une de l’autre le cas du césium 137 peut constituer une AD à lui seul.
Une petite vingtaine de questions suivent les documents, questions ouvertes, questions fermées. A utiliser et compléter comme on veut !
Le glossaire est à maintenir dans tous les cas, à mon sens.
Rayons alpha, bêta, gamma
Les trois rayonnements émis par les noyaux
Carte des modes de radioactivité
La carte des noyaux est coloriée en fonction des modes de désintégrations. Les noyaux stables, situés au fond de la vallée de stabilité, sont en noir. Les émetteurs bêta sont situés de part et d'autre cette courbe : les bêta-moins (en bleu) du côté excédentaire en neutrons, les bêta-plus (en orange) du côté excédentaire en protons. La ligne de stabilité se prolonge à droite par une zone où dominent les émetteurs alpha (en jaune). On remarque quelques noyaux très lourds qui subissent des fissions spontanées (en vert) et très loin de la ligne de stabilité une poignée de noyaux émetteurs de protons (en rouge) ou de neutrons (en mauve). null
NUCLEUS
L'habitude d'appeler rayons alpha, bêta et gamma les noyaux d'hélium, les électrons ou les photons émis lors de désintégrations radioactives remonte à l'époque de la découverte. Nourris de culture classique, les physiciens étaient alors férus de grec et de