Raisonnement par récurence
1 2 3 i-1 i n-1 n
V
-3 40 8
-1
8
9 125
Puis, on se dit (comme ça) que si on savait compter les entiers strictement positifs de V à partir de l’indice 1 et jusqu’à l’indice i‐1, cela ne devrait pas être bien plus compliqué de savoir les compter jusqu’à l’indice n…. Donc, on fait l’hypothèse qu’on sait le faire, si, si ! Hypothèse : « Je sais compter les entiers positifs de V à partir de l’indice 1 et jusqu’à l’indice i‐1 » Ce qui peut se traduire de façon un peu moins verbeuse par : Hypothèse : nb = nombre d’entiers positifs dans V de l’indice 1 à l’indice i‐1 Ou, de façon encore moins verbeuse : Hypothèse : nb = nombre d’entiers positifs de V[1..i‐1] Et pour compléter cette hypothèse, on se dit que l’indice i‐1 peut être n’importe quel indice du vecteur, mais que bien entendu il est au maximum égal à n ! Si la plus grande valeur que peut prendre i‐1 est égale à n, alors la plus grande valeur possible pour i est égale à n+1. Ce qui donne au final : Hypothèse : nb = nombre d’entiers positifs de V[1..i‐1], i n+1 Ensuite, il ne reste qu’à dérouler le tapis !!! Comme la plus grande valeur possible de i est égale à n+1, il y a deux cas à envisager : 1er cas : i est égal à n+1 2ème cas : i est strictement inférieur à n+1 Dans le premier cas, selon notre hypothèse, nb étant le nombre d’entiers positifs de V[1..i‐1] et i‐1 étant égal à n, nb est donc le nombre d’entiers positifs de