Rapport au monde
S3
Discipline : philosophie de l’architecture
Quand il nous a été demandé de définir la nature de la relation qu’on aimerait entretenir avec le monde, j’ai trouvé cela utopique. Pourquoi ? Tout bonnement, parce qu’on peut parler de tout ce qu’on veut, citer nos souhaits… Mais on sait déjà que nombre de ces souhaits formulés ne seront jamais réalisés. On est déjà convaincu qu’on est soumis à des fatalités, à des règles que nous a imposé mère nature, et que cette relation idéale qu’on cherche à avoir avec le(s) monde(s) ne sera jamais atteinte…
Or, même avec cette conscience, j’ai tâché de m’exprimer à l’égard de ce sujet, et d’exposer certaines de mes idées, certaines envies, une vision de ce que j’aimerais voir dans ce monde, de la relation que je veux entretenir avec ce qui m’entoure…
Avant de commencer, il serait judicieux de définir cette notion de « monde », ou « mondes » pour ainsi, pouvoir cerner le niveau sur lequel va s’établir ma relation avec ce monde.
De prime abord, il y a le monde incarné dans la nature, cette dernière constitue un ensemble d’éléments, un ensemble avec lequel on interagit , un ensemble qui ne nous laisse pas indifférents.
Personnellement, je trouve que la nature impose beaucoup de contraintes à l’homme. On peut même la qualifier d’un monde « cruel ». Cela est visible surtout lors des catastrophes naturelles à titre d’exemple. On se retrouve souvent avec des limites, des contraintes, on n’est plus libres.
J’aimerais alors, que l’homme soit en mesure de contrôler la nature, entièrement, qu’il en soit le maître .Que nous , humains, soyons en mesure , de tirer le maximum de la nature, sans pour autant, souffrir des conséquences qui découlent de notre usage. Je veux que l’homme puisse rendre sa vie parfaite grâce à un usage parfait de la nature.
Le deuxième monde par rapport à l’homme, est celui, qui est formé par les autres individus. A ce niveau, je souhaite que la communication entre les individus dépasse