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INTRODUCTION
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Depuis plusieurs années, les compétences sont au cœur des Ressources Humaines.
En effet, la mondialisation, la concurrence et la nécessité d’être principalement à l’écoute des clients, sans omettre la rapidité des innovations, la difficulté grandissante à prévoir donc à gérer les risques, sont des données qui ont conduit les entreprises à prendre conscience de l’importance du « facteur humain » dans le contexte de la compétitivité actuelle. * En l’occurrence, les hommes et les femmes sont en contact quotidien avec les clients et leurs problèmes portant sur la réactivité nécessaire pour répondre à l ‘évolution de l’environnement et pour permettre ainsi aux entreprises de rester performantes.
De leur côté, les managers cherchent à évaluer les entreprises par des moyens autres que par les résultats financiers : ils cherchent de plus en plus à évaluer le capital immatériel (capital humain) dont les compétences font partie. Les fonds éthiques étant probablement représentatifs de ce mouvement, même si les méthodes d’évaluation restent discutables.
La méthodologie présentée ci-après est commune, les politiques poursuivies, le langage utilisé et les outils développés sont spécifiques à chaque entreprise et à ses problèmes.
L’être humain nait, grandit et se développe au sein d’un environnement ; de nature cet individu appartient à un groupe (la société). Il cherche à se développer à apprendre, voire à se surpasser. Cependant il a besoin d’un catalyseur afin d’accomplir tout cela. Ce catalyseur est communément appelé motivation.
Au sein d’une entreprise chaque employé contribue directement à la croissance et au succès de ladite entreprise. Pour que le personnel contribue avec efficacité et efficience au processus du développement et de la croissance de l’entreprise, cette dernière devrait lui fournir tous les moyens nécessaires pour mieux d’accomplir ses tâches.
Dés lors, la motivation reste le premier facteur d’efficacité