rapport

29334 mots 118 pages
Histoire des théories de la communication

CHAPITRE I : LES PERES FONDATEURS.
Les pères fondateurs des sciences sociales n’ont pas ignoré le problème des médias. Au 19ème siècle, les médias représentent un grand phénomène social, c’est également l’instrument du pouvoir politique. Dans toute la première partie du 20ème siècle les médias vont entrainer la théorie des effets directs. C’est une théorie qui s’inquiète de la manipulation des individus par les médias. Le totalitarisme, les guerres renforcent cette inquiétude. Ce qu’il s’est dit au 19ème siècle a été oublié. L’oubli de ces théories et les guerres engendrent une vision caricaturale de la dynamique des relations sociales.
Les deux grands pôles de réflexion sont les US et l’Europe. Pour les US le cours sera basé sur ce qu’on montrés les chercheurs. Ils ont perçus la communication comme quelque chose de central dans le monde contemporain.
Cette vision du monde pessimiste a attribué aux médias le rôle de « bouc émissaire ». Cela n’a pas favorisé l’implantation d’une tradition de recherche. Cela a repoussé toutes les réflexions sur les médias en Europe. Il a fallu attendre les années 60 pour qu’une réflexion sur les médias se fasse. Années 60 : mouvement contre culturel, évolution des mœurs, mutation sociétale. Les sociologues s’intéressent à ce changement sociétal. Celui-ci est accompagné par les médias. Les années 60 sont aussi l’émergence de la culture jeune.
Au 19ème siècle, la révolution industrielle a induit un exode rural qui se dirige vers les sites urbains & industriels. La société devient industrielle donc urbaine, c’est une mutation importante. C’est un phénomène perceptible dans les réflexions en France et en Allemagne. F. Tonnies (1855-1936) qui définit en 1887 la communauté rurale qui est fondée sur des relations de solidarité qui s’oppose avec la communauté urbaine basée sur l’échange. La différence entre ces deux communautés est le salariat.
Selon Durkheim la révolution industrielle

en relation

  • rapport
    6292 mots | 26 pages
  • rapport
    487 mots | 2 pages
  • rapport
    485 mots | 2 pages
  • rapport
    291 mots | 2 pages
  • rapport
    2193 mots | 9 pages
  • rapport
    729 mots | 3 pages
  • rapport
    705 mots | 3 pages
  • rapport
    1884 mots | 8 pages
  • rapport
    3223 mots | 13 pages
  • rapport
    413 mots | 2 pages
  • rapport
    904 mots | 4 pages
  • rapport
    1380 mots | 6 pages
  • rapport
    764 mots | 4 pages
  • rapport
    698 mots | 3 pages
  • rapport
    3230 mots | 13 pages