Sujet d'invention
1°S3 Paul Valery 15/20

M. Rastignac 20 rue du Zehef

M. Raphaël de Valentin 34 rue des Cordières Monsieur Raphaël de Valentin, mon très cher amis je vous écris en ce jour car j'aimerai vous faire part de mes découvertes incongrus de la journée. En effet , quand le soleil battait son plein je me suis rendu aux Italiens afin d'y apprécier les délicieux opéras tout en naturalisant les ingrédients qui précédemment régalez mes papilles de je ne sais quel miracle venue du moyen orient ; cependant sur mon chemin je remarqua un nom de rue qui ne m'était pas inconnue.En effet c'était la rue des cordières dont tu m'a tant parlé,sachant que tu résidé dans cette hôtel Saint-Quentin je me décida à venir te saluer brièvement, en effet le temps m'était compté si je ne voulais pas rater un morceau de cette opéra. Ayant localisé ton hôtel je vit par la fenêtre une jeune femme dont j'ai tout de suite supposé être la fameuse Pauline dont tu me parle tant. Elle était assise devant ce qui semblait être une table à manger et avec ces doigts léger elle imitait le piano sur cette table rugueuse. Ces doigts étaient doté d'une dextérité divine et d'une finesse inégalable, ils virevolté comme des ballerines dans un ballet ; ces pieds battaient le tempo sans faux pas et tout ceci était fait avec une passion à faire pâlir les plus grands musiciens. Cette enfant semblait être une nymphe tombé dans cette mansarde par le hasard le plus incongru. Ces cheveux semblaient être des fils d'or posé paisiblement sur ces hautes épaules ou encore un petit cours d'eau tombant en cascade sur un lit sablonneux. Une incroyable harmonie se développé entre tout les éléments de son corps comme ci elle était le modèle de la race humaine, comme si elle définissait ce que devrait être toutes les femmes de ce monde. Il n'y avait pas de place pour les défauts sur ce corps tout droit sortie du jardin d'éden. Les lambeaux qui lui servaient de vêtements se posait sur elle