Recueil de poésie sur la mer
Pour ce recueil, j’ai choisi un thème qui me tenait particulièrement à cœur, la mer. C’est est un lieu fascinant, qui regorge de mystère. Certain poètes la font vivre à travers leurs vers, et comme l’a dit Jacques Prévert, « La poésie c’est le plus joli surnom que l’on donne à la vie ». En regardant la mer on peut éprouver toutes sortes d’émotion, la liberté, l’envie de voyage, la joie… Ce recueil regroupe cinq poèmes parus de 1800 à 1950 qui en allant du romantisme au surréalisme montreront les différentes façons de voir la mer au cours du temps. Le premier poème est « Adieu à la mer » issu du recueil Nouvelles méditation poétique publié par Alphonse de Lamartines en 1822. C’est un poème qui s’inscrit dans le romantisme, il est constitué de seize quintins. Alphonse de Lamartine est né à Mâcon en 1790. Sa vocation littéraire s’affirme sous la restauration à l’époque où il rencontre Julie Charles qui meurt deux ans après. Il fait une carrière politique et meurt ruiné en février 1869. Le poème « Bain de mer I » écrit par Charles Coran s’inscrit dans le mouvement du Parnasse. Il a été publié en 1866 dans Le parnasse contemporain. Il est écrit avec trois sizains, un distique et un quatrain. Charles Coran est un poète français né à Paris en 1814. Il tient un hôtel garni et écrit des poèmes à ses loisirs. Il meurt en août 1901. « L’homme et la mer » du recueil Les fleurs du mal de Charles Baudelaire publié en 1861, est constitué de quarte quatrain. Charles Baudelaire est un poète français né à Paris en avril 1821 et mort en août 1867. Il ouvre la voix de la poésie de la modernité à mi-chemin entre le Parnasse et le symbolisme. Paul Eluard a publié Capitale de la douleur en 1926. Dans ce recueil, se trouve « Le sourd et l’aveugle » un poème surréaliste de trois quatrains qui parle de la mer, mais de façon angoissante contrairement aux autres poésies choisi. Paul Eluard né en décembre 1895 sous le nom