REDACTION FRAN AIS 2
A ce jour, frauder aux examens est devenu chose courante. La technologie évoluent plus vite que les lois, laissant celles-ci dépassées, permet aux fraudeurs de frauder sans crainte .La question de la fraude aux examens ne date pas d’hier, plusieurs dispositifs ont été mis en place.
Ainsi, aujourd’hui, existe-t-il des moyens de lutté contre la fraude aux examens ? .Dans un premier temps, nous verrons que les moyens mis en place s’avère efficace, intéressant et bien penser, avant de montrer que celle-ci auront du mal à lutter face à la technologie.
Tout d’abord, il faut savoir que la fraude remonte au 19éme siècle. Depuis le XIXème siècle, plusieurs lois ont été votées et mis en place pour lutter contre la fraude. A l’époque, la fraude était moins fréquente, car les effectifs des classes étaient faibles. Le plagiat était possible, mais devait être utilisé avec certaines règles. Tandis qu’aujourd’hui, l’effectif de classe ayant augmenté massivement, va permettre au gouvernement de mettre en place certain lois et moyen de disposition. Pour limiter ainsi cette forte augmentation de fraude, le parlement et le sénat ont mis en place pour contrer, une loi qui va rebrousser certains. Cette loi dit qu’en cas de flagrant délit de fraude ou tentative de fraude à l’examen, l’élève risque une interdiction d’examen d’une durée de cinq ans. A cela s’ajoute une amande de neuf mille euros et un risque de trois ans d’emprisonnement, ainsi cette loi va permettre de réduire les fraudes.
Les dispositifs dans le monde ne sont pas les mêmes pour tout le monde, chaque pays a sa propre méthode. Dans l’article de Virginie Bordereau, de l’etudiant.fr datant de 2011, le texte nous apprend que le Danemark utilise des méthodes différentes. En effet, au Danemark, l’accès à internet est autorisé pendant les examens, ce qui change systématiquement la nature des épreuves. Les élèves sont évoluées davantage sur leur réflexion, la recherche et l’utilisation d’informations