Reflexion autour de l'incendie d'imagix
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Contrairement ce que certains viennent à penser, il est impensable de croire qu’un individu devient ou est un criminel en raison de sa religion ou de sa couleur de peau, elles ne peuvent être les causes d’un acte de délinquance, cette logique de penser est tout simplement irrationnelle. On ne peut parler de criminel-nés, ainsi qu’un de gêne du criminel, le délinquant est définit avant tout par ses actes. Mohamed, un jeune âgé de 17 ans et originaire de Mons-Borinage est suspect d’être l’auteur de l’incendie d’une discothèque. Mohamed peut être décrit comme un délinquant juvénile. Mais malgré la distinction entre les différents délinquants, on remarque qu’il existe une « unité de l’action criminelle », le délinquant est toujours « généralisé » et commet tous types de délits. Mohamed était bien connu de la justice pour déviances dites plus primaires, mais cette fois-ci, sont acte est considérer comme un crime, une déviance majeure. Pour comprendre son acte, il faut étudier et prendre en compte les différents facteurs qui on amené Mohamed à devenir un délinquant.
Il est possible d’imaginer qu’il a été victime d’une désorganisation sociale. Cette théorie annonce le fait que lorsque deux cultures différentes se rencontrent, l’individu peut perdre ses repères et ses normes ainsi que la solidarité s’affaiblissent. Cette incertitude morale va faciliter la transgression des règles. Effectivement, Mohamed est issu du quartier Mons-Borignard, un ancien quartier minier où cohabite plusieurs cultures différentes.
Cependant on ne peut parler de conflit de culture, car les normes de la culture de Mohamed, ne l’on en aucun cas influencé et ne sont pas à la cause de l’acte qu’il a commit. Mais nous pouvons poser l’hypothèse de l’éducation déviante, appelé aussi association différentiel. En effet, Mohamed est un récidiviste, bien connu par la