Reforme
Au Sommet mondial de 2005, les chefs d’État et de gouvernement ont réaffirmé leur volonté de renforcer l’ONU afin qu’elle soit à la hauteur des nouveaux défis du XXIe siècle. Depuis, des mesures importantes ont été prises, comme la création de la Commission de consolidation de la paix et du Conseil des droits de l’homme. Il reste cependant beaucoup à faire. Durant sa soixante-deuxième session, l’Assemblée générale poursuivra les efforts qu’elle a entrepris pour réformer la gestion du Secrétariat de l’ONU, renforcer la cohérence de l’action du système, revitaliser l’Assemblée générale et réformer le Conseil de sécurité.
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Réforme de la gestion
Au Sommet mondial de 2005, les chefs d’État et de gouvernement ont reconnu qu’il importait d’améliorer la gestion de l’ONU et ont demandé qu’un certain nombre de mesures soient prises à cet effet. La réforme de la gestion doit permettre d’accroître l’efficacité et l’efficience du Secrétariat et de renforcer la responsabilisation, dans tous les domaines de travail de l’Organisation. Elle doit aussi permettre d’améliorer la gestion des ressources humaines, la gouvernance et le contrôle, les systèmes informatiques, les services d’achat et l’administration de la justice.
Un élément important des activités de réforme consistera à examiner tous les mandats ayant plus de cinq ans d’ancienneté définis par l’Assemblée générale et d’autres organes. Il s’agira de renforcer et d’actualiser le programme de travail de l’ONU. À la soixante-deuxième session, les États Membres continueront de travailler sur cette question.
Le Président de l’Assemblée générale organisera un débat thématique sur la réforme de la gestion afin de faire le point des progrès accomplis depuis 2005 et des nouvelles mesures qu’il faudrait prendre.
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Cohérence de l’action du système des Nations Unies
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