Regime parlementaire
Apparu aprés revolution française , la question est de savoir commen t organiser la société. Le fondateur du positivisme se veut il dabord artisan d'une reconstruction générale. C'est dans un tel contexte historique qui se developpa à l'époque du Directoire avec Turgit, d'Alember,Laplace que nait chez Auguste Comte l'imperieuse vocation de réformateur universel.
La science sociale, qui étudie les lois des phénomènes sociaux est bien la science finale qui établit en même temps les principes de la morale et de la politique. Il faut retenir du positivisme sa vocation à fonder une morale sociale à laquelle sera soumise la politique . Cette morale sera donc expurgée de tout esprit métaphysique . S'il s'agit de réorganiser les moeurs il faudra renoncer à l'idée métaphysique de droit en tant qu'elle suppose une individualité absolue . On considerera plutot les droits de chacun comme résultants des devoirs des autres envers lui : ce sont les devoirs des hommes qui fondent leur droit. La politique se surbordonnera ainsi à la morale.
Philosophie à l’époque Antique :
Socrate, condamné par la loi, respecte la loi. Il la reconnait supérieure à l’individu, symbole d’un collectif citoyen auquel il convient de se plier quoi qu’il en coûte. Pas un instant il ne songe à contourner la sévérité du verdict. Aucun dessein individuel ne peut ni ne doit leur être jugé supérieur. Le procès de Socrate met en scène toute une logique politique, religieuse, étrangère, pour beaucoup, à nos mentalités marquées peu à peu par l’individualité et la défense de ses droits. Les lois sont montrées dirigeant la vie et la mort de leurs sujets. Et si elles peuvent paraître injustes, n’est- ce pas parce que confusion est faite entre des hommes qui les exécutent et des lois qui, par essence, ne peuvent jamais être iniques ? Les hommes injustes car ignorants, sont seuls responsables du sort infligé à Socrate. Et non les lois, protectrices de l’ordre et de l’harmonie de la cité et