Il s'agit d'une d'un entretien d'aide que j'ai décidé d'établir avec une patiente de 78 ans. Les faits se sont déroulés lors de mon 3 ème stage en libéral chez une patiente mme Z, qui et atteinte de la maladie de Parkinson. Outre les conséquences physiologiques, cette maladie a beaucoup de répercussions sur le quotidien de cette dernière, notamment l'altération de la mobilité conséquence qu'elle a du mal a accepter notamment vis à vis de ces proches et dont elle a du mal a en parler. Etaient présents ce soir là, la patiente, son fils qui est très présent, l'infirmière, et moi-même.
Un après midi lors de notre visite à domicile chez la patiente pour les soins quotidiens (prises des constantes, administration des traitements, injection), en observant la patiente je remarque qu'elle semble stressée et craintive, ainsi qu'un léger hématome sur le front qu'elle a tenté de cacher sous son foulard. Habituellement ces soins son effectués dans son salon. En lui demandant comment allait-elle, en présence de son fils elle m'affirma qu'elle se portait très bien. Non convaincue par ses dires, j'ai jugé utile de lui proposer de profiter du beau temps pour s'installer sur sa terrasse pour prendre ses constantes, ceci afin d'entamer un entretien d'aide non directif, assise à ses cotés en faisant preuve d'écoute et d'observation attentive dans le calme sans la présence de son fils. En constatant un léger hématome sur le front, j'ai supposé qu'elle était tombée mais qu'elle ne voulait pas le signaler, car elle du mal à accepter sa situation, et le fait qu'elle ai des difficultés pour se déplacer, elle se sent alors par moment dévalorisée et ne souhaite plus inquiéter ses enfants. J'ai alors ressenti un mal être et une souffrance de la patiente plus profonde que les douleurs qu'elle peut ressentir par moment.
J'ai préféré alors en lui tenant la main, lui demander comment s'était passé sa journée et l'écouter silencieusement, plutôt que de lui demander directement s'il elle était