Remuneration
I. Les enjeux
- Tenir compte de la conjoncture, c’est-à-dire de l’environnement.
- La stratégie commerciale de l’entreprise.
- La motivation avec le budget de l’entreprise comme limite.
Il y a, à l’heure actuelle des endroits privilégiés comme les banques, mais le salaire diminue quand même à l’embauche.
II. Les différentes composantes d’un système de rémunération.
70% des entreprises optent pour un salaire avec une partie fixe et une partie variable.
A. La partie fixe de la rémunération
Dans l’unité commerciale, la valeur de la partie fixe règlementé ne peut être inferieure au minimum légal ou de la convention collective.
Le diplôme, l’expérience, le niveau de qualification et l’ancienneté permettent de fixer le salaire fixe. B. La partie variable de la rémunération.
Dans les unités commerciales la part variable représente de 10 à 20 % du salaire.
Par exemple :
- Chef de rayon : 11%
III. Les différentes méthodes de stimulation financière.
→ La participation (pour entreprise de plus de 50 salariés), il est obligatoire: - Redistribution des bénéfices bloqués pendant 5 ans pour les employés. → L’intéressement, il est facultatif et permet aux salariés de les intéresser aux performances : les primes sont disponibles immédiatement ou placé sur un plan d’épargne entreprise.
Il peut être fait sur des objectifs très cours.
→ L’abondement, système facultatif : somme versée par l’employeur sur le plan d’épargne entreprise du salarié → Fidélisation du personnel.
→ Le plan d’épargne entreprise (PEE) : permet aux salariés de constituer un capital investit en valeur mobilière (actions). Il existe également le PEIE
→ Le PPESV : bloqué pendant 10 ans. Système collectif.
→ Le PERCO : plan épargne retraite collectif. Les sommes sont bloquées jusqu'à la retraite.
→ Les avantages sociaux : tout ce qui n’apparaît pas dans le salaire.
Exemple : la mutuelle, le comité d’entreprise…
IV. Le calcul de la rémunération.