Reponse a question de corpus
Devoir de français
1) Notre corpus se compose de trois textes, « Le loup et le chien », « Le savetier et le financier » et « La génisse, la chèvre et la brebis, en société avec le lion » de La Fontaine, dans ces trois textes dont la morale est implicite, on se demande justement cela, quelles sont les morales ?
Dans le texte A, « Le Loup et le Chien », le loup choisit la liberté au confort, il se mit à parler avec un chien qui lui-même lui propose de vivre avec un maitre, leur « donner la chasse aux gens », pour avoir un « bien meilleur destin », le loup parait aimer l’idée, jusqu’au moment qu’il aperçoit le collier du chien, après cela il décide de s’enfuir et d’être libre. Au monde des humains, on a la morale qui nous indique que la liberté n’a pas de prix, qu’il vaut mieux être un indigent libre que de vivre dans la dépendance d’un autre.
Au texte B, « Le Savetier et el Financier », la savetier confronte un dilemme comme celui du loup, mais ici, le financier lui donne de l’argent au pauvre savetier, cent écus, avec cela, il lui en donne de la paranoïa en plus, le savetier avait « les soupçons, les alarmes vaines » et « tout le jour » « l’œil au guet ». Donc, il finit par lui rendre les cents écus au financier, il veut son « somme » à nouveau. On peut voir donc qu’ici c’est la richesse qui s’oppose au bonheur, et la fable nous apprend qu’il vaut mieux avoir le bonheur, que cela vaut plus que l’argent.
Finalement, dans « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion » le texte C, on a ces trois animaux plutôt faibles, qui s’associent au Lion, le plus fort des animaux. Au cours de la fable, on observe que le lion finit progressivement à s’approprier des quatre parts, et donc, la leçon qu’on en tire de cette fable, c’est que le plus fort finit toujours par avoir ce qu’il veut ou même, vu que le lion et le « seigneur du voisinage » ou le roi de la jungle, on peut aussi l’interpréter comme l’abus du pouvoir, et donc la leçon