Repoters de guerres
Grace aux supports photographiques le monde entier peut se rendre compte de l'atrocité et de la misère qu'engendrent les guerres. Mais aussi, elles prouvent l'entraide et la solidarité des nations impliquées ou non dans la guerre.
Elles serviront de preuves et de traces indélébiles pour le futur. Elles ont la fonction de mémoire.
Une photo marque plus les esprits qu'une vidéo car elle permet de visualiser l'instant présent dans son entièreté, le public a le temps de s'attarder sur les moindres détails (expressions, émotions, paysages…)
L'influence du photographe change parfois l'attitude de la personne photographiée ou peut avoir un rôle sur le déroulement de la scène.
Différentes catégories de photographes:
Parmi ceux-ci, il y a des reporters indépendants qui partent par goût de l'aventure et du voyage et d'autres envoyés en mission par les médias.
Certains pensent qu'il faut prendre position pour un parti et d'autres non.
Lors d'un conflit (bagarres, exécutions,…), des photographes estiment qu'il ne faut pas intervenir car ils ont le sentiment d'être impuissants et que rien ne changera au risque de mettre leur vie en danger
Par contre, d'autres ressentent le besoin d'intervenir si face à eux une personne se retrouve en difficulté.
Les reporters se rendent parfois sur des conflits qui durent plusieurs mois et connaissent ainsi le mode de vie et le comportement de l'environnement, ils s'adaptent et s'organisent donc de la sorte. (Exemple: l'intervention des secours dans la seconde = pas besoin d'intervenir).
En conclusion :
C'est un métier relativement dangereux, leur vie est mise en jeu pratiquement chaque jour.
C'est également très dur physiquement et mentalement d'assister a certaines scènes tout en étant impuissant.
Leurs reportages photos ne changeront le cours d'une guerre mais permettront au public de s'émouvoir et de réagir au point d'influer les états politiques en conflits.
La presse n'est qu'un support pour