Responsabilité sociale
Intro :
Nous aborderons dans cette partie la responsabilité sociale plus orientée vers les entreprises. Effectivement, nous verrons que les enjeux se portent davantage vers ces organisations. Effectivement, les associations, mutuelles ou coopératives s’inscrivent de faite, par leurs activités dans une logique sociale voire éthique.
Définition :
On l'assimilerait à l'impact direct ou indirect de l'activité d'individus, d'un groupe, ou d'une entreprise sur la société. Un impact qui suit le champ social, environnemental, culturel et économique.
La norme ISO 26000* définit la responsabilité sociétale en tant que maîtrise « des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l'environnement, se traduisant par un comportement éthique et transparent qui contribue au développement durable, y compris à la santé et au bien-être de la société ; prend en compte les attentes des parties prenantes ; respecte les lois en vigueur tout en étant en cohérence avec les normes internationales de comportement ; et qui est intégré dans l'ensemble de l'organisation et mis en oeuvre dans ses relations. »
La commission européenne1* s'attache plus particulièrement à « l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes »
Le Pacte Mondial des Nations Unies3* quant à lui défini le RSE à « adopter, soutenir et appliquer dans leur sphère d'influence un ensemble de valeurs fondamentales, dans les domaines des droits de l'homme, des normes de travail et de l'environnement, et de lutte contre la corruption. »
l'OCDE1* (organisation de coopération et de développement économiques) « attend des entreprises qu'elles respectent les différentes lois qui leur sont applicables et, dans la pratique, elles doivent souvent répondre à des attentes sociétales qui ne sont pas consignées dans les textes de lois ».
Dans la déclaration