D’Emile Zola.

L’histoire se passe sous le second empire, entre 1830 et 1900.

Thérèse est la nièce de madame Raquin, c’est Mme Raquin qui l’a élevée car son père était militaire, il est mort un peu plus tard, et sa mère est morte. Elle a été élevée avec son cousin Camille, qui était toujours malade. Elle a été élevée à Vernon.
Elle a appris à rêver et à ne rien dire, pour ne pas déranger son cousin, qui dormait dans la même chambre qu’elle.
Quand elle a eut 21 ans elle se maria avec Camille, c’était un mariage arrangé. Ils ont toujours vécu avec mme Raquin, Camille a décidé d’aller vivre à Paris elle est venue. Camille voulait travailler dans un bureau, il trouva un emploi dans un bureau. Mme Raquin a accepté que son fils aille à Paris et elle est venue avec eux, elle a trouvé une ancienne mercerie avec un appartement au-dessus, cette mercerie se trouvait dans le passage du Pont-neuf, un endroit sombre et humide. Thérèse n’aima pas mais ne le dit pas.
Un peu après être installés ils organisèrent, le jeudi soir, une soirée thé avec monsieur Michaud, un ami de mme Raquin, qu’elle avait rencontré le jour même dans la rue, Olivier et sa femme, Suzanne, le fils de Michaud, monsieur Grivet, un des supérieurs de Camille et Laurent, un ami d’enfance de Camille. Thérèse n’aima pas ces soirées. Laurent parla de son histoire, il demanda à Camille s’il pouvait faire son portrait, à Camille, il devra poser pendant 2 heures tous les soirs. Depuis qu’il avait commencé à peindre Camille, Thérèse restait dans la chambre, changée en atelier pour l’occasion, et regardait Laurent peindre.
Laurent était sur qu’il plaisait à Thérèse, et qu’elle allait devenir sa maîtresse. Mais il ne l’aimait pas, il la trouvait laide, il la comparait à une prostituée bas prix, même gratuite. Il attendit d’avoir terminé le portrait, qui était laid, pendant que mme Raquin était à la boutique et que Camille était parti chercher du champagne, il fit l’amour avec Thérèse. Ils se revirent plusieurs