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Chapitre 1 : le condamné compare son présent à son passé [qui foisonne d'idées] pour mettre en valeur le caractère obsessionnel de l'idée de mourir sur la guillotine.
Chapitre 2 : il s'agit d'un flash back [6 semaines auparavant] dans lequel le condamné se rappelle le jour de son procès et toute l'agitation des personnes présentes [juges, procureurs, avocats, témoins, foule …].
Il fait aussi état de l'effet du verdict fatal sur son état d'âme [comme un coup de massue] et sur le public qui jouit à l'avance du spectacle de son exécution.
Chapitre 3 : le condamné semble se résigner: sa situation, d'après ses lectures, n'est pas différente de celle des autres… tout le monde est condamné à mourir un jour ou l'autre.
Les mort est présentée aussi comme une délivrance : plus de pain noir, plus de cachot, plus de galériens, plus de garde-chiourme…
Chapitre 4: le condamné est transféré à Bicêtre qui est une prison. Autrefois c'était un hôpital qui accueillait les soldats infirmes.
Chapitre 5: le condamné doit attendre 6 ou 7 semaines avant d'être exécuté.
"Les égards d'un guichetier sentent l'échafaud" signifie que s'il est traité avec une politesse et une distinction inhabituelles c'est surtout parce qu'il est condamné à mort.
Dans sa prison, il entend les détenus parler argot, un langage populaire, voire vulgaire.
Chapitre 6: le condamné présente les raisons qui le poussent à écrire un journal de ses souffrances. On y retrouve tous les enjeux de l'écriture : Quoi écrire, à qui écrire, dans quel but écrire …?
Il y décrit ses angoisses, ses terreurs, sa torture morale.
Chapitre 7 : le condamné remet en question l'idée d'écrire parce qu'il n'y voit pas d'intérêt : il ne voit pas l'intérêt de sauver des têtes du moment que la sienne tombe. Cette hésitation à écrire est due au désespoir de ne plus jouir du soleil, des champs, des printemps, des fleurs … de la nature et de la liberté.
Chapitre 8: la