Introduction
Jean-Paul Riopelle est né à Montréal, le 7 octobre 1923 et il est mort à Saint-Antoine-de-l’Isle-aux-Grues, le 12 mars 2002. C'était un peintre, graveur et sculpteur québécois. Dès son plus jeune âge, il se lie d'amitié avec un artiste montréalais qui partage une passion comme lui qui est la peinture. Il est l’artiste canadien le plus célèbre de son époque, sa renommée est mondiale. Il a sa place dans les grandes anthologies d’art moderne et ses œuvres figurent dans d’importantes collections privées et publiques. Il s’installe à Paris à l’âge de 23ans, cela représente un grand pas pour lui et certaine conséquences pour sa carrière. Il faut dire qu’à cette époque, dans la Province de Québec, comme dans d’autre avant, c’est une folie cauchemardesque d’être trouvé coupable en tant qu’artiste de pratiquer un art nouveau. Condamné à mener une vie existence de mort vivant, sans grand espoir d’être un jour libéré ou qu’il doive se résigner à être exclu socialement et culturellement. Comme Borduas qui a été congédié de son poste de professeur à l’École des Meuble à la suite de la parution du Refus global. C’est alors que les chances sont faible de survie pour un artiste qui décide de rester au pays, alors que le parti de l’Union nationale est dirigé par Maurice Duplessis est au pouvoir et que l’Église catholique est la puissance même. C’est ainsi que le mouvement automatiste des années quarante à Montréal a laissé des traces profonde et a contribué à éliminer l’obligation de faire des tableaux selon la tradition. Il se marie le 30 octobre 1946, avec Francoise Lespérance, les jeunes époux vend aussitôt la maison que ses parents on donné en guise de cadeau de mariage et grace a cette sommes, ils partent à la conquête de Paris. Extrêmement actif, un tableau n’attend pas l’autre, Riopelle ne veut pas passer pour gentil et élégant. Plus sauvage, plus impétueux et plus à l’aise que son maître Borduas, ses compositions symphonique et colorées s’offrent avec