Roberto zucco, le matricide
1. Langage dramatique : langage du théâtre Le rythme est irrégulier : les réplique sont parfois rapide (stichomythies) et lent (ex : tirade de la mère à la fin de la scène). Il y a les didascalies pour construire la scène.
2. La mère est un personnage dans l’excès. Elle lui dit qu’il est fou, qu’elle a peur de lui. Elle ne veut pas qu’il soit gentil avec elle car pour la mère, c’est une façon de l’amadouer. La mère ce défend en expriment sa défense. On a l’impression qu’elle le reconnaît plus.
3. La violence verbale et physique. Zucco arrive en force (violence physique). A travers la violence on retrouve la douceur paradoxale de Zucco (didascalie de la fin) ; la violence verbale de la mère (‘’foutre à la poubelle’’ p 15) ( trivialité du langage (grossier). Il y a également renie, cela confirme qu’elle aurait du le mettre à la poubelle. Elle le traite de fou : p 16 : ’’tu es complètement dingue’’ ; ‘’’est que tu va pas me tuer à mon tour ?’’. C’est une dispute familiale ; c’est une relation complètement perverti, hors du commun jusqu'à tombé dans la violence la plus extrême. Il y a aussi la détermination de Zucco pour son treillis. Il y a la violence du schizophrène : douceur au début (‘’j’ai toujours été doux avec toi’’) et à la fin, il tue sa mère. P 17 : il y a la métaphore du déraillement ‘’un train qui déraille (…) sur les raille’’ ( s’écarte du droit chemin ( quitter se qui est valoriser en tant que bien, c’est devenir mauvais, criminel pour entre dans la folie. Il y a le déclique (le meurtre). Roberto est fichu, irrécupérable (‘’on l’abandonne’’). Avec le verbe oublier (Koltès joue sur différente nuance du verbe), d’un moment à l’autre, n’a pas la même signification : au début : ‘’comment veux (…) tuer ton père’’ (ici, elle fait allusion au pardon) ; Zucco lui demande