Role des traditions
Ces guerres permettent de construire un présent sans refaire les mêmes erreurs. Et essayer de transmettre aux générations qui suivent ses erreurs du passé. Les Deux articles du Monde et figaro débattent en grande parti sur cette question. Hannah Arendt évoque plus le fait de transmettre aux plus jeunes générations cette culture historique. Sur la photo prise sur le camp d’Auschwitz, explique le devoir de mémoire.
Les nouvelles générations ne veulent plus entendre parler de l’histoire de France, ils se demandent à quoi sa leur servira plus tard. D’après la photo de 2004 on voit Jo Wajsblat, un ancien déporté et un jeune, il lui explique l’horreur que c’était sur les camps pour que cela ne se reproduise plus mais Cécilia Gabizon dénonce dans le figaro en 2009 que certain site historique sont plus des sources de revenus que de lieu de commémoration. Dans l’article de Jacqueline De Romilly, elle explique que les jeunes ignorent que l’histoire commence avant le début de leur vie, qu’il y a eu un avant mais il faut savoir que les erreurs du passé aident à construite un futur et que c’est grâce à notre vécu que nos idées ce font d’après l’article de 2008 paru dans le journal Le Monde. C’est pour cela qu’il ne faut pas négliger cette matière et de refuser d’apprendre quoi que se soit. D’après Hannah Arendt dans son livre La crise de l’éducation, Il n’y a pas qu’à l’école qu’on apprend ces choses là mais cette éducation doit se faire par les parents et grands parents. Cette éducation permet de voir que si l’on aime le monde assume toutes les responsabilités.
D’abord il faut expliquer aux générations futures que cette transmission est très importante, J. de Romilly pense que comprendre