Enfin, le roman en tant qu'oeuvre d'art, mpeme si elle s'inspire du réel ne peut se borner à son imitation son but est ailleurs Un roman à avant tout un but de divertissement, si on lit un livre de Zola par exemple, ce n'est pas forcément pour en apprendre plus sur la vie d'un mineur du XIX em. Un roman n'est en aucun cas un livre d'histoire, pur reflet d'une société. Quelqu'un qui prétendrai tout savoir sur la période de la seconde guerre mondiale parce qu'il a lu des livres qui en parlai serai dans l'erreur. Un roman est forcément subjectif. Et, ce n'est pas au roman de combler ces lacunes. De plus, pour divertir le lecteur, le roman travestit le réel, même s'il s'en inspire fortement.
Enfin, J. Ricardou, écrivain et théoricien du nouveau roman né en 1932 affirme que « l'important ce n'est plus l'écriture d'une aventure mais l'aventure d'une écriture ». Ce jeu sur l'écriture s'est particulièrement bien développé au XX e siècle, notamment avec l'Oulipo (ouvroir de littérature potentielle) un groupe internationale de littéraire et de mathématiciens qui se définissent comme des « rats qui construisent eux même le labyrinthe dont ils se proposent de sortir ». Pour eux, la littérature est un terrain de jeu, fait de contrainte à exploiter. Ils savent dont comment jouer avec les mots, comme lorsqu'il utilise Ce qui compte n'est pas le sens du récit, mais la manière dont il est écrit. C'est également le cas pour la Nouvelle fiction ayant comme membre par exemple Chateaureynaud ou frederick Tristant qui ne tienne pas compte de la réalité du récit et qui pousse au dernier degré la suspension consentie de l'incrédulité (c'est à dire l'opération qu'effectue le spectateur qui accepter de mettre de côté son septicsime) en poussant au maximum l'irréalité des faits pour servir leur but