Rousseau les confession 'je forme une entreprise ... que cet homme la"
Il développe le thème du « lui en tant que sujet » et il explique qu’il est capable d’être objectif face à ses actions passées.
On remarque l’abondance de la 1ere personne su singulier, 32 expressions le désignent.
Le narrateur qui est l’auteur et le personnage, est sujet de presque toutes les phrases, ce qui montre toute l’importance qu’il s’accorde.
Dans le 1er paragraphe, Rousseau s’adresse au lecteur, alors que dans le second il parle a Dieu « trompète du jugement dernier » « le souverain juge ». Il s’adresse a lui au discours direct et a la 2eme personne du singulier, on a ainsi une impression d’égalité avec Dieu qu’il prend pour témoin « tel que tu l’as vu toi-même »
Rousseau se dit unique mais aussi je meilleur des hommes « j’ose croire n’être fait comme aucun autre de ce qui existe » et « si je ne vaut pas mieux alors je suis autre »
De plus, quand il s’adresse a Dieu, il dit être sincère, son livre refléte ce qu’il a vraiment fait, ses actes véritables « ce que j’ai fait … ce que je fus » et « j’ai dit le bien et le mal avec la même franchise ». Mais si l’on regarde bien la tournure de la phrase « je me suis montre …. Quand je l’ai été » montre que rousseau n’est pas aussi objectif qu’il le laissait croire, méprisant et vils sont 2 expression péjoratives d’intensité égale alors que bon genereux sublime sont 3 thermes mélioratifs qui augmentent en intensité.
Il dit que les gens autour de lui pourrons juger, mais quand il dit « qu’un seul te dise… que cet homme la », c’est Rousseau qui juge.
On peut en conclure que rousseau, le sujet, a une part de subjectivité dans ses