-Décrivez l'état de Rousseau au moment où il écrit "Les Rêveries" et son rapport aux autres hommes.
Rousseau écrit « Les Reveries » dans un état solitaire et tranquille. Il exprime sa solitude à la première ligne, « …seul sur la terre… ». Il n’a rien d’autre que lui même. Suivant, Il explique son rapport aux autres hommes qui n’existe pas formellement. Les hommes « ont brisé tous les liens » en dépit de son amour pour eux. Les hommes l’ont fait si violement que Rousseau ne les craigne plus. C’est à dire il a souffert tout ce qu’ils pouvaient faire. Donc son rapport aux autres hommes rend son état de solitude dans laquelle il écrit « Les Rêveries ».
-En quoi cet état et ce rapport aux hommes sont-ils différents de ceux qu'il connaissait "il n'y a pas deux mois" ? Quelle a été - à en croire Rousseau - son "erreur" ? Quel est cet "événement aussi triste qu'imprévu", raconté dans la deuxième promenade, qui a tout changé? Pourquoi est-il si important aux yeux de Rousseau ?
Il n’y a pas deux mois Rousseau a perdu tout espoir ce qui l’a libéré. Il a trouvé un « plein calme ». L’évènement qui a précipité ce calme c’était un accident pendant l’une ses promenades. Il a tombé en essayant d’éviter un carrosse.
-Quels objectifs Rousseau donne-t-il à ses "Rêveries" ? Quelle méthode souhaite-t-il employer pour y parvenir ?
L’objectif pour Rousseau est la réflexion pour lui-même. Il fait une comparaison à la méthode de Montaigne, mais il distingue son œuvre d’être écrit « pour moi ». Il décrit sa méthode, « j’appliquerai le baromètre à mon âme ». Il le fera en décrivant ses promenades ce qu’il fait souvent.
Il écrit que « Les Rêveries » n’a pas une structure parce que son œuvre est pour lui-même, mais cette explication est pour qui ?