Acte II scène VI – l'aveu de Roxane.

CYRANO
Puis-je ? Puis-je croire une seconde que ce bel homme fut-ce moi ? Que cet amour aurais put être notre... Non, que de folie. Mon nez est trop laid et ma vie trop vaste pour qu'une femme comme Roxane prête attention a moi. Mais qu'elle est belle, d'un parfums exquis et d'un regard tombeur. Mais comment puis-je ?
En posant d'un mouvement brusque sa tête entre ces deux main.
Je désespère ! Cria t-il.
Pourquoi ne ressemble-je pas a cet homme ? Ce relevant. Je souffre, oui j'ai mal ! Cet amour si profond que j'ai pour elle, on cœur chantant croisant sont regard. Malheur, fureur, horreur, que fait-je encore ici ? J'ai perdu espoir, espoir qu'elle m'aime, volonté de me barre ou...
Cyrano s’apprête a sortir pour allez voir Roxane, il pose la main sur la porte, puis s’arrête.
A quoi bon ce battre ? Commet pourrai-t-on m'aimer ? Non pas que Roxane mais, quel qu'autre femme. Je suis née seul, je mourrai seul avec mon grand nez et ma souffrance.
Ce dirigeant vers une miroir, il ce regarde, sourcil froncer, regard inquiet. Restant devant sont miroir,, a regarder sont portrait, une, deux, trois, dix minutes.
Une femme a on bras je rêve, mais espoir je perd. Je n’eut ou n'est plus. Mais qui est cet homme ? Fier, noble, jeune, intrépide, beau... Je chercherai cet homme, trouverai ce qu'il as de plus que moi, ou de moins long. Cyrano prend une longue inspiration.
Cela n'est que boutade, elle m'aime !
Il fait demi tour laissant sont portait derrière lui.
Comme un cousin, tel un malheur.