Réalisme russe
Une journée ordinaire, comme la veille, s’annonce. Le mardi pour moi est une journée plutôt conséquence, les matières s’enchaînent, 8 en tout ! Cette journée a été marqué par la disparition de Mme Charenton, professeur d’Espagnole, mais étrangement je dois être le seul à avoir été intrigué par cette disparition, il faut dire qu’avec un contrôle géographique des régions espagnole en vue, je partage la satisfaction du reste de la casse et donc ce paradoxe n’en n’est plus un, et le mystère est résolu. Ayant écrit ce journal de bord pour mon intérêt personnel, ce qu’il va suivre n’a en aucun cas pour but la vengeance personnel ni le dénigrement puéril, cela est juste mon explication d’ un différend avec un membre du corps enseignant. Les faits : mon équipe et moi étions chargés de réalisés un décor pour une représentation théâtrale ayant pour thème : dénoncer une injustice. Notre thème était la peine de mort. J’avais donc imaginé une maquette représentant une guillotine qui nécessita 3 heures de travail et de volonté. Le jour de la représentation nous devions préparer nos décors, seulement voilà : la porte de la salle d’arts plastiques étant la débouché d’un escalier raide et étroit, de mon entorse aux genoux et de mes deux pattes supplémentaires j’étais dans l’incapacité d’aller le prendre. J’ai donc demandé à un autre élève, membre de notre groupe, de l’aide pour aller chercher cette fameuse guillotine faite de bric et de broc. Ceci étant fait j’allai aidé le reste du groupe à la découpe d’un personnage au destin tragique, la mort, enfin jusque-là. Et oui puisque notre cher ami à un Incroyable Talent©, il a la capacité d’oublié les choses très très rapidement (la monté d’une vingtaine de marche). La découpe du miraculé, étant terminé, notre récréation sacrifié, nous nous avançâmes vers l’amphithéâtre, nous nous installâmes, et apprîmes la mauvaise nouvel : notre ami a encore fait des siennes. Ne pouvant pas participer à la