1) Question préalable : A partir de ces trois corpus, « Le poisson-Scorpion » de Nicolas Bouvier, Un Essai de Michel de Montaigne et Nord Perdu de Nancy Hudson, nous répondrons à la question suivante. Quels sont les aspects positifs et négatifs que ces voyages nous traduisent ? Nous parlerons tout d’abord du côté positif des voyages et finiront par le côté négatif. Tout d’abord, on peut constater que seul le texte de Michel De Montaigne révèle vraiment un aspect positif au voyage alors que les deux autres auteurs ont plutôt une vision négative du voyage, mais cela n’empêche pas qu’ils aient pu prendre du plaisir à voyager. Montaigne nous raconte que pour lui le voyage est une source de découverte, un moyen de découvrir de nouveaux paysages plus ou moins fabuleux, plus ou moins riche. Bourlinguer dans le monde entier permet aussi d’assimiler de nouvelles cultures, observer des styles de vie différents des nôtres et gouter à de nouveaux plats. Parfois nos voyages nous chamboulent de plaisir et d’autres fois le dépaysement y est tellement fort qu’ils nous déçoivent. D’après Montaigne, avoir un esprit ouvert est toujours profitable Mais malheureusement, voyager ne rassemble pas que des points positifs, dans les trois corpus une poignée d’aspect négatifs est exprimé. De ce côté-là, les trois auteurs trouvent tous quelque chose à redire aux voyages. Montaigne aimant voyager, trouve qu’il y a trop de critique envers les mœurs étrangères. Montaigne trouve qu’il y a un manque d’adaptation quand on voyage dans un pays exotique, on garde nos habitudes, nos usages on ne s’accommode pas avec leur mode de vie. Nicolas Bouvier, lui, parle de la fatigue engendrer par son voyage en Asie. D’après son texte le voyage a été très éprouvant, il n’utilise presque que des adjectifs péjoratifs pour le qualifier. Il traite de la solitude et de la maladie attrapé pendant son voyage surement le paludisme ou chikungunya ainsi qu’une pauvreté apparente. On peut penser que son