Réflexion sur le film la cité de la joie
Film - La cité de la joie
Question 1) Selon moi, l’auteur a appelé ce film « La cité de la joie » parce que même à travers de la misère des habitants de Calcutta, les opprimés gardent le sourire en tout temps et s’estime heureux lorsqu’ils ont un travail stable pour subvenir aux besoins de leur famille. De plus, la intense pauvreté qui sévit dans cette ville leur fait prendre conscience du bonheur que leur apportent les petites choses. Par la suite, la morale du film est que, malgré la manière dont on vit (avec richesses ou non), il est important de prendre conscience de la manière dont les gens autour de nous et dans le reste du monde vivent pour avoir conscience de la chance que l’on a de pouvoir jouir de petits plaisirs comme des soins de santé, un travail payant, une maison solide, un bon repas ou même un film.
Question 2) Hasari a quitté son village pour les bidonvilles de Calcutta dans l’espoir de faire de l’argent pour pouvoir faire la dot de sa fille, alors que nous, la plupart du temps, avons une grande aide financière de nos parents pour étudier et s’établir. Hasari, contrairement à la plupart des familles du Québec, a une famille nombreuse et soudée (oncle, tante, cousins…) et ils voyagent ensemble. De plus, Hasari, pousseur de reikshas, a un pénible travail qui n’est pas très payant, contrairement à nous qui nous plaignons toujours à propos de notre « petit » salaire pour un travail peu forçant. Ensuite, Hasari a développé son amitié avec Max en traversant toutes les épreuves qu’il a vécu avec lui, en plus des difficiles conditions de vie. Chez nous, l’amitié se développe par le dialogue et les rencontres, plus aisée que de devoir surmonter diverses épreuves éprouvantes.
Question 3) La pauvreté est représentée sous diverses formes. En effet, elle est omniprésente durant tout le film, dans la situation de vie des gens comme dans leur environnement et dans leurs agissements. La pauvreté dans le film illustre bien