Régime présidentiel
Pas de droit de dissolution, ni de censure, ni de responsabilité politique (responsabilité pénale). Le président n’est pas le leader de la majorité. C’est le chef qui a le pouvoir donc c’est un régime moniste.
La séparation est rigide car il n’y a pas d’instruments permettant d’anéantir l’autre, la spécialisation des compétences est claire dans la Constitution pour chaques organes.
Il existe un système de frein et de contre-poids mais en principe il n’y a pas d’imbrication des compétences (elle est relative)
Le système définit dans la Constitution.
Le congrès.
C’est une institution qui ne doit rien au Président pour son existence. Elle est indépendante. Il y a un bicamérisme. Le scrutin est majoritaire à un tour plurinominal.
C’est un système qui instaure une forme d’injustice électorale. Système du “winners takes all”.
Il y a deux sénateurs par Etat ce qui favorise les petits états.
Exemple du pouvoir du congrès : Pouvoir financier. Il détermine les recettes et les crédits pour le budget de la présidence. C’est un terrain d’observation privilégié de l’équilibre des pouvoirs.Il procède à la procédure d’impeachment.
B) Le président.
Il y a une centralisation du pouvoir du président sur la scène internationale.
Est-ce que l’élection du président est complexe et archaïque ?
Les citoyens votent pour des grands électeurs et ces derniers vont voter pour le président.
“Les primaires permettant au peuple et non pas aux militants comme dans les cocus de désigner les délégués”. Selon Elizabeth Israelewicz, c’était au départ un système de sélection des élites. Aujourd’hui il s’est généralisé et depuis la seconde moitié du XXeme siècle c’est le plus important changement ayant affecté les conditions de la désignation du président.
Election indirecte du président américain prévue par la Constitution. C’est un mandat impératif.
En 2000, le candidat algor avait plus de vote des citoyens mais Bush avait