Résumé Au bonheur des Dames.
Chapitre 10 :
Denise à une entorse à la cheville, elle est bloque dans sa chambre depuis le jeudi. Alors qu’elle descendait pour travailler, Mme Cabin lui donne une lettre de Mouret l’invitant à dîner le soir même avec lui. Elle le dit à Pauline, qui le dit à Deloche, mais quelqu’un entend et à la fin tout le magasin le sait. C’est l’inventaire du magasin, donc il est fermé. Denise inscrit juste les articles appelé, comme elle ne peut pas marcher. Alors que Mouret et Bourdoncle font leur tour d’inspection. Tout le magasin, ne parle plus que de Denise, ils savent tous pour la lettre et pour l’amitié qu’elle portait à Hutin. Pendant le repas des hommes, Deloche s’accroche avec Favier, car celui-ci disait du mal de Denise. Denise alors qu’elle montait déjeuner, surprend Pauline et Baugé entrain de s’embrasser. Elle apprend que c’est de la faute à Pauline si tout le magasin est au courant pour la lettre, mais elle ne lui en veut pas. Après avoir manger, Denise retourne au rayon des confections où Mme Aurélie la prend avec elle pour faire le travail de contrôle. Mlle de Fontenailles vient les aider. Mouret revient plus tard, il demande où à Mme Aurélie où se trouve Denise, d’un mouvement de la tête celle-ci lui fait voir la salle d’échantillonnage où les deux femmes se sont mis pour pouvoir compter dans le calme. Mouret rentra dans la salle. Mme Aurélie, demanda à Mlle de Fontenailles de partir faire une autre tache car sois disant elle compter mal, puis ne sachant pas quoi faire pour sortir à son tour de la salle de façon décente, heureusement, Marguerite, une vendeuse, eut l’intelligence de demander un renseignement, ce qui lui permit de sortir décament. Enfin seuls, Mouret demanda à Denise si elle viendrait à son rendez-vous. Celle-ci répondu non, elle prétexta un dîner chez son oncle. Mouret lui demanda alors quand elle viendrait, perdant son calme elle répondu qu’elle ne savait pas, puis se reprenant qu’elle ne voulais pas. Mouret