Résumer des animaux malade de la peste
On oppose la force (Le Lion) et la faiblesse (l'Âne) à la ruse (le Renard).
Le Lion n'est critiqué à aucun moment, cependant tous les verbes d'action montrent la maniére dont il mange, représentant la brutalité : « dévorer » (vers 26), « manger » (vers 28, plus correct).
Un bon roi est capable de se sacrifier pour son peuple dont le jugement est sûr et qui est souhaité par ses courtisans
Renard = Courtisans, présentés comme futés ainsi que comme maître de la parole, notamment dans le mécanisme de la flatterie. Vers 34-35 l'adverbe « trop » représente une hyperbole. Le roi a mangé quelque chose d'insignifiant. Vers 36 « Manger moutons, canaille, sotte espéce ».
b) Un simulâcre de justice.
Apparition de l'Âne qui a pour modèle le roi. Il ignore la régle de la courtisanerie, naïf, sa faute est présente (vers 51 – 52) comme quelque chose qu'il aurait commis sans être responsable.Champ lexical de la justice malgré le jugement, l'Âne de basse éducation est mis à mort.
- > Crime de l'Âne vers 59 : « Sa peccadille fut jugée un cas pendable », Vers 60 – 62 : « Forfait ».
Le texte fait l'éllipse (Une ellipse est une figure de rhétorique consistant à omettre volontairement un ou plusieurs mots, grammaticalement nécessaires, qui ne sont pas indispensables pour la compréhension de la phrase, afin d'augmenter l'intensité du propos. Le soin de deviner le sous-entendu est laissé au lecteur ou à l'auditeur. ) du jugement et de la mise à mort pour passer directement à la mortalité mais on ne sait pas si le sacrifice aura été efficace.
Conclusion
La Fontaine ironise sur une cour où les puissants ont tous les droits et n'en reconnaissent aucun au faible. L'hypocrisie générale est dénoncée ainsi que le fait que la morale soit