Résumé Chapitre VIII - La Nuit - E. Wiesel
Soudainement, les alarmes se mirent à sonner et les gardiens envoyèrent tous les prisonniers de retour dans les cabanes. Épuisés, ils s’endormirent.
Le lendemain, Eliezer, commença à chercher son père pendant des heures. Il souhaita ne pas le retrouver. Même en éprouvant de la honte pour lui-même, il le considéra un fardeau qui gênait son essai de survie. Entre la multitude se trouva son père, encore en vie malgré une haute fièvre, qui demandait du café.
Trois jours après leur arrivée, Shlomo, qui était malade de dysenterie, se fit taper dessus par les autres prisonniers, qui le supportaient plus. Eliezer, qui avait essayé de le faire voir par un médecin, suborna les agresseurs en leur promettant du pain.
Le lendemain, 28 janvier 1945, les S.S appelèrent les détenus et Eliezer sortit pendant que son père gémissait en demandant de l’eau. Un officier le frappa pour le faire taire, et son dernier mot fut le prénom de son fils. Quand Eliezer retourna à la baraque, il regarda son père agoniser pendant une heure et il s’endormit sans verser une seule larme, en se sentant soulagé.
Eliezer et son père, Shlomo, arrivèrent à Buchenwald. C’était l’hiver. Près des cheminées du crématoire, ils furent rassemblés et envoyés dans les baraques. Le père, moribond, s’écroula pendant qu’ils attendaient pour rentrer dans les douches. Eliezer essaya en hurlant de le relever, mais Shlomo avait perdu l’espoir et la volonté de vivre.
Soudainement, les alarmes se mirent à sonner et les gardiens envoyèrent tous les prisonniers de retour dans les cabanes. Épuisés, ils s’endormirent.
Le lendemain, Eliezer, commença à chercher son père pendant