Révision syndicat
Chapitre 6
Résumé sur la syndicalisation: Dans un contexte de mondialisation, il y a 3 arguments qui justifient la perte de popularité des syndicats dans un contexte d’entreprise :
1. Les syndicats comme facteur de rigidité. Personne ne s’oppose au bien-être des travailleurs, mais cependant, le syndicat à la mauvaise réputation d’être trop rigide. Dans un milieu ou la concurrence est très forte, une convention collective ne serait pas un frein à l’innovation et l’adaptation?
2. L’incapacité des syndicats à assurer la régulation des conditions de travail. Du à la mondialisation et la décentralisation des entreprises, beaucoup d’entre elles utilisent la comparaison entre les établissements, et grâce à une stratégie de financement, elles récompensent ceux qui performe et « punissant » ceux qui ont du retard, obligeant les syndicats à se plier aux exigences de l’employeur.
3. La désaffection envers les syndicats. La mondialisation change les règles du jeu. La présence de syndicats ne serait plus aussi pertinente que dans le passé du à une montée de l’individualisme, à un éclatement des formes de solidarité et à une désaffectation des employés envers les syndicats. (cependant, cette tendance ne représente pas la réalité en chiffre)
**Il sera quand même prouvé que ses 3 arguments ne soient pas toujours applicable dans certains secteur ou situation**
En gros, la perte de popularité serait donc associée au nouveau fonctionnement de l’économie. Les syndicats se retrouvent dans une situation beaucoup plus complexe à gérer.
Voici quelques pistes pour renouveler l’action syndicale :
1. Les expériences de partenariat patronal-syndical. Il y a deux approches. Premièrement, l’approche à gains mutuels. La survie du syndicat dépend de la capacité de celui-ci à développer un partenariat avec l’employeur. Il y a la alors une attitude de collaboration entre employeur et syndicat afin que les travailleurs puissent assurer la compétitivité