Plusieurs écritures ont vu le jour pendant la révolution tranquille dans le but de partager la vie quotidienne du peuple québécois. Michel Tremblay composa Les Belles Sœurs qui représente la population québécoise d’une façon crue. Tout comme Jacques Godbout écrivait son troisième roman <<Salut Galarneau !>> en 1967. Est-ce qu’on peut dire que les enfants Galarneau ont été négligés par leurs parents ? Bien que les enfants Galarneau aillent été négligés par leurs parents au niveau d’un manque de vie familiale et ils ont préférés suivre leur bonheur personnel, mais reste que les parents ont complété un certain devoir parental.

En effet, l’absence de vie familiale représente un vide aux enfants Galarneau. On peut remarquer que les parents n’ont pas été présent pour les enfants. <<J’ai toujours aimé maman et papa d’une même envolée de tendresse parce que jamais nous ne les voyions ensemble. Mais toujours nous savions que l’un des deux dormait à la maison, jour ou nuit. >> p.67. Son père partait régulièrement de la maison au lieu d’être présent pour ces enfants : <<En fait, du matin au soir, du lundi au dimanche, sur le lac Saint-Louis ou vers Oka par les écluses, papa pacté de bière devenait le capitaine tranquille…>> p.68 Les deux citations démontrent des parents qui font rarement acte de présence à la maison et qu’ils ne sont seulement là pour dormir. De plus, les parents ont mis aucun investissement dans la vie de leurs enfants << Sans Superman, je ne sais pas ce que nous serions devenus. Ces lectures faisaient de nous des garçons ardents en amour et en batailles…>> p.70. L’extrait démontre la lecture a pris la place de leurs parents et il a pu combler le manque d’affection nécessaire et qu’ils ont fait de ces jeunes hommes des grands hommes comblés et leur père <<maugréait>> p.71 à l’idée que leurs enfants passent leur temps à dévorer de l’imprimé pour combler leur bonheur. Ainsi, le fait que les