sara
Le cas où l’enfant a effectivement été l’objet de harcèlements et afin de lui redonner confiance, la première étape consiste en la reconnaissance de cette violence. S’il y a un dépôt de plainte, il faudra veiller à ce que l’enfant apprenne quelles ont été les sanctions de celle/celui/ceux qui l’ont violenté.
Un acte malveillant doit être reconnu comme tel et l’enfant ne doit pas se sentir abandonné, ni par sa propre famille, ni par le système législatif. Comme pour les adultes, l’enfant-victime a besoin d’être reconnu par la société, sinon il devra comprendre seul ce qu’il se passe et finira par trouver une justification à l’injustifiable.
Ensuite, attention au risque de dévalorisation, de dépression et potentiellement un suicide. Un bon suivi psychologique doit être mis en place pour que l’enfant puisse verbaliser son mal être, son incompréhension, tous les sentiments négatifs ou pas, qui peuvent le traverser.
Enfin, si cela s’avère nécessaire et si c’est matériellement possible, il peut être recommandé de changer l'enfant d’établissement. Ne plus retourner sur les lieux où il a subi les tortures psy Les solutions contre un enfant violent à l'école
Il faut transmettre à son enfant l’importance du respect d’autrui, tout en incarnant avec finesse un modèle ayant suffisamment de personnalité pour ne pas se laisser écraser par les autres. C’est difficile, mais le rôle de parents n’a jamais été une sinécure. Bien entendu, l’action parentale n’est pas le gage d’enfants qui fileront droit !
Le tempérament, le milieu socio-culturel, les copains, les fréquentations, l’âge, une certaine forme de sensibilité, etc. sont autant de facteurs qui peuvent faire basculer l’enfant d’un côté ou de l’autre (et peut alors devenir violent). chologiques ou la violence physique peut l’aider à surmonter plus vite le traumatisme.
Des solutions innovantes pour mettre fin à la violence contre les femmes
La Commission des Nations Unies