Sarah
Problématique : Comment l'auteur exprime la dualité de la femme ?
I – La dimension dramatique du poème 1) Souffrance de la femme
Répercutions physique du passé de Sarah : « les yeux cernés par les années », « la bouché usée, par les baisers »
Champ lexical de la souffrance : « blessé, usée, pauvre, larmes, fuir... »
2) Le coté dramatique du poème
Ton grave qui apporte du rythme et de la musicalité
Répulsion du désir physique : anaphore trop, « trop mal donné », « trop caressé », « trop souvent mais »
Il ne faut pas juger la femme : « Messieurs ne crachez pas de jurons ni d'ordure »
II – L'amour qu'à le poète pour Sarah
1) La sensualité de la femme malgré son age
Champ lexical du corps et de la sensualité : « œil, visage, mains, yeux, bouche, les seins, le corps »
Evocation de plaisir dans le lit de la femme malgré la vieillesse : « La femme qui est dans mon lit n'a plus 20 ans depuis longtemps »
2 ) Sarah, un idéal féminin
Enumeration qui prouve que Sarah est sa perfection : « c'est mon tout, ma richesse, ma perle, mon bijou, ma reine, ma duchesse »
Les deux facettes de Sarah qui sont contrastés :
Le coté « pigeon blessé » avec « corps lassé », « talon déchaussé »
La femme parfaite pour le poète, son amante « la femme qui est dans mon lit », « son corps, ses mains s'offrent au mien »
Conclusion :
L'auteur montre la dualité de la femme avec ces deux facettes. D'un coté c'est une femme rongé par le temps, source de souffrance. Mais d'un autre coté, l'auteur à pour elle un idéal féminin, sa muse.