Jérôme Bosch
Biographie :
Jérôme Bosch est née vers 1453 à Bois-le-Duc. Il est le fils d’un peintre, issus d’une famille assez aisée. Vers 1481, Bosch se marie avec Aleid van de Meervenne, une aristocrate qui lui permet d’avoir un meilleur statut et d’obtenir certains biens matériels. Même si il avait à présent une maison, la demeure familiale restait l’endroit qui lui servait « d’atelier » à lui et à sa famille. En 1488 il sera un des « membres jurés » qui est « le noyaux privilégié de la confrérie ». Le 9 aout 1516, il mourra là où il est né à Bois-le-Duc.
Son parcours :
Dans ces œuvres, plusieurs thèmes propre à son temps reviennent souvent : le bon et le mauvais, le paradis et l’enfer, la douleur, l’enlacement, les défauts. Le jugement dernier, la mort, la fin du monde sont des thèmes exprimés d’une façon différente par rapport à d’autres artistes contemporains de son temps. Ce que veut Bosch n’est pas comme les nombreuses œuvres de son époque, il ne veut pas qu’on abandonne nos croyances. Ce qu’il veut c’est mettre « une morale de la responsabilité des hommes ici-bas », on peut dire que c’est « une ouverture vers la modernité ». Ce qui fait que Jérôme Bosch n’est pas comme les autres c’est le fait qu’il dessine des visages anormaux qu’il créer grâce à une inspiration animale : « pattes d'insectes, plumes et becs d'oiseaux, têtes de reptiles ou de batraciens, membres humains, mais aussi machines fantastiques » qui montre ses toiles dans des contextes « chaotiques ». Pour Alain de la Roche les animaux représente « des vices et des péchés ». Son univers et son œuvre montre l’obsession de Satan, et les défauts de l’homme dans un art rempli de symbole.
Analyse d’une de ses œuvres :
En 1486, lors de son triptyque2 du « jugement dernier », Bosch est au sommet de sa réussite. Les nombreuses abominations de l’œuvre lient ensemble l’être humain et l’animal.

Le panneau de gauche est appelé « Les Bienheureux », il symbolise le paradis. Là où toutes les bonnes