Savoir connaissance tradition
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T(R(F(,
R(F(,
T(V(F(,
Mes B(A(F(,
Connaissance, Savoirs, Tradition.
Nous entrons en Maçonnerie avec une masse de savoirs et peu de connaissance car tout dans le monde profane attise nos capacités cognitives plus qu’intuitives.
Il résulte de cet état de fait un certain désordre dans l’esprit des profanes, un malaise et quelque fois même un mal être du à la « fausse » hiérarchie des priorités que véhicule notre éducation, nos instincts et les valeurs matérielles de notre civilisation.
Cette confusion se retrouve dans l’usage quotidien des mots Savoir et Connaissance.
En conséquences, la première question que l’on peut se poser est pourquoi cette confusion dans le langage courant ?
Question de facilité comme cela est trop souvent le cas ?
Ou bien, est ce que la domination Des Savoirs, La Science toute puissante, et son corolaire philosophique, le Positivisme, aurait pour conséquences de diminuer la portée d’un concept plus subtil, mais difficilement démontrable de manière….Scientifique : La Connaissance ?
Pour mener à bien ce travail, je commence par retourner ces deux mots dans tous les sens, et de les utiliser, en substituant l’un à l’autre, pour déterminer quand, à l’oreille, intuitivement, un plutôt que l’autre, sonnerait le mieux.
Les connaissances, Les savoirs, La connaissance, Le savoir, Des connaissances, Des savoirs ; etc, etc…
Ce mélange des genres ou des nombres si je puis dire, s’amplifie lorsque l’on y ajoute encore un article qu’il soit défini ou indéfini, pluriel ou singulier.
Quelle est l’origine étymologique du mot savoir ?
Savoir du latin « saper » dont le verbe latin est « scire », évoque un concept qui doit être su, c'est-à-dire présent dans notre mémoire.
Savoir + article indéfini au singulier ou au pluriel ; « Un savoir », « Des savoirs », sont des notions peu utilisées ; le recours à l’article indéfini, dégage une notion soit trop restrictive soit très générale. Un ou des