A partir des documents, nos avions vu que les principaux déterminants sociaux de la réussite ou de l’échec scolaire sont, le sexe ainsi que l’origine social et le parcours scolaire des parents. Nous allons maintenant voir comment la socialisation peut être à l’ origine de ces faits.

Tous d’abord il existe deux types de socialisation. La socialisation primaire qui incluse la famille ainsi que l’école, elle joue un rôle important sur la formation de l’individu durant son existence puis la socialisation secondaire dont font partie les entreprises, les médias, les groupe de pairs, les associations et autres. Ils permettent d’adapter un être ayant déjà été socialisé. Parmi tous ces facteurs certains, joue un rôle beaucoup plus important que d’autres. C’est par exemple le cas pour la famille, selon les milieux sociaux, les parents de l’enfant vont être plus ou moins derrière l’enfant, c'est-à-dire qu’ils vont plus suivre son parcours lors de sa scolarité pour que l’enfant réussisse ou arrive à ces objectifs.
L’école qui est un puissant agent de socialisation, elle permet la transmission de savoir, d’assimiler les normes et les valeurs qui sont attendu par la société, en revanche l’égalité des chances a l’école ne sont pas les même.
Le document 6 nous montre très clairement ceci, lorsque les deux parents sont ouvriers, il y a 14% de chance que l’enfant soit le titulaire du diplôme du BAC (+2 année) puis 8% de chance qu’ils continuent a faire des études supérieur (3ans ou plus). En revanche l’enfant aura 55% de chance d’être titulaire d’un CAP, BEP ou BAC pro, puis 23% de chance de n’avoir aucun diplôme. Puis l’on voit que lorsque les deux parents sont cadres, il y a 3% de chance que l’enfant soit non diplômé, 22% pour que l’enfant soit titulaire d’un CAP,BEP ou d’un BAC pro, 18% que l’enfant est un diplôme BAC+2, et 57% que l’enfant et eut son diplôme du BAC et par la suite fait 3 ans d’étude ou plus.
Le groupe de pairs et un facteur qui se dégage parmi les