Sciences politiques
Lorsqu’on observe les régimes occidentaux on trouve tout un ensemble d’indicateur qui remet en cause le degré des électeurs dans le régime. L’opinion des électeurs n’est plus demandée avant un moment. Entre deux élections, ces gouvernements ne rencontrent pas forcément un haut degré d’adhésion de leurs électeurs. On trouve des gouvernements qui présentent leur réforme comme correspondant à la volonté d’une majorité des citoyens, mais ces réformes provoquent des manifestations et des formes de mécontentement. Cependant, tout ce passe de façon à ce que les gouvernements se présentent aux journalistes comme s’ils n’y avaient pas lieu de contester la majorité et les réformes du gouvernement et du parlement.
Plus les élections sont espacées plus il y a de chance qu’il y est une confusion entre les majorités et l’opinion des électeurs.
En organisant la consultation régulière on s’aperçoit que ces gouvernements produisent de l’obéissance.
I] Evaluation des systèmes électifs A) Affirmation du caractère d’origine
C’est un élément de légitimation des régimes Européens qui leur permettent de porter critique.
Il y a une idée de bipolarisation des régimes : soit nous sommes une démocratie soit un régime autoritaire. Dans la presse, les régimes vont être considérés soit comme démocratiques soit comme autoritaires sans qu’aucune graduation soit faite à l’intérieure. Il faut plus tôt se poser la question du degré de démocratisation des différents régimes politiques. Mais cela nous oblige à définir des critères pour pouvoir définir ce qu’est une démocratie, quel est le rythme de consultation, le modèle de la loi,… . Dans un certains nombre de régime on va procéder à différents types de référendum sur des questions politiques et économiques (des réformes). Lorsqu’un tiers des députés a un doute il pourrait aussi