Sciences sociales
(1) B.Denni et P.Lecomte, Sociologie du politique, 1990.
(2) In Science politique, Dominique Chagnollaud, Dalloz, 1999
(3) Armand Colin, collection Cursus, 1992 (4) S/d de Pascal Perrineau, Presses de la FNSP, 1994
(5) Il y a ici tout un champ de réflexion possible sur la base des travaux historiques et des recherches empiriques de la science politique : *Des travaux historiques de sociologie électorale réalisés au niveau local et national ; des études de sociogenèse peuvent être consultées (cf. Garrigou sur le vote). *Des études plus récentes sur l’évolution de la participation électorale, sur la volatilité des votes et la montée de l’abstention (avec des électeurs occasionnels et environ un tiers d’apathique). (6) L'abbé Sieyes, le 7 novembre 1789 (cité par Dominique Rousseau in La démocratie continue, Acte du colloque de Montpellier2-4 avril 1992, LGDJ. (7) cf. Max Weber in Le savant et le politique. (8) Le droit de vote et même celui d’être élu pour les étrangers sous la Révolution française ; l’acquisition de la nationalité par le fait de résider aux USA et au Canada ; les nouvelles perspectives d’une remise en cause du droit du sang en Allemagne ; les avatars de l’acquisition de la citoyenneté en France.
(9) La Révolution française offrait la citoyenneté à ceux qui résidaient depuis cinq ans en 1791, et même un an en 1793. Aux USA et au Canada résider, c’est acquérir la nationalité. (10) Alain Lancelot introduit des les années 60 une approche durkheimienne de l’abstention (faible intégration des abstentionnistes) ; l’explication du « cens caché » de D. Gaxie est plutôt bourdieusienne alors qu’Annick Percheron analyse la non-inscription électorale en croisant les deux approches. François De Singly voit dans les non-réponses aux sondages le produit d’interactions… (11) Cf. Nonna Mayer et Pascal Perrineau¸ Les comportements politiques, p131 sq. (12) D’où la fréquence des listes de défense des intérêts communaux qui privilégient la