1.)
Constat :
On constate qu’en 1905 il y a très peu de cervidés. Cependant au cours des vings années suivantes, on aperçoit une forte évolution jusqu’à atteindre un pic de 100 000 cervidés en 1925. Après 1925, il y a une baisse accrue du nombre de cervidés. D’après le graphique 60 % de jeunes meurs en deux hivers pour n’atteindre plus que 40 000 cervidés en 1927. Puis la baisse continue, pour n’atteindre qu’un nombre très minime de cervidés après 1935.
Analyse du graphique :
La forte augmentation durant les vingt premières années est due à l’extermination par l’homme des prédateurs (pumas, coyotes etc…) des cervidés, qui sont alors moins la proie de ces derniers.
Les cervidés sont essentiellement herbivores et ses nourrissent de végétaux. Suite à la forte augmentation du nombre de cervidés, cela entraine une baisse de la végétation ce qui signifie qu’il y a moins de nourriture à leur disposition donc famine et c’est pour cette raison que de nombreux sont cervidés sont décédés en deux années.
La courbe discontinue représente une simulation de la population des cervidés si les prédateurs n’avaient pas été exterminés. L’augmentation du nombre de cervidés auraient été moins fortes, et la baisse des cervidés après 1925 également, pour globalement rester constante. On constate également que la courbe discontinue après 1935 du nombre de cervidés reste supérieure à la courbe continue.

3.) Le document C évoque tout d’abord la notion de viodiversité, qui représente le moteur du vivant, il s’agit de la diversité des êtres vivants et des écosystèmes. Pour qu’il y ait biodiversité il faut qu’il y ait une intéraction entre les espèces.
L’écosystème est un ensemble d’espèces développant un réseau d’inter-dépendence dans un milieu, le biotope…

4.)
Maintenir la biodiversité ordinaire semble être essentiel, pour qu’il y ait un équilibre entre les différents réseaux trophiques. L’équilibre au sein de ces réseaux reste très fragile. En effet, la disparition d’un